Comme d’habitude, une adresse que je vois de très loin, car dans un quartier lointain.

Mais les photos des plats que j’ai vu circuler m’ont mis l’eau à la bouche, car j’étais assez récalcitrant, « quoi ! me déplacer pour un sandwich ».

Et comme vous le savez, il vaut mieux se faire son propre avis, n’est-ce pas ? Donc, je m’y rendis.

C’est un peu compliqué à trouver, mais en fait, si vous êtes mobile, cool, et que vous aimer voyager à travers le pays, la carte des rues n’aura plus de secrets pour vous.

Bref, j’atterris devant La Brochette.

L’endroit de l’extérieur est jeune, cool. Bien que dans un environnement assez hétéroclite, entre cafés de quartier et épiceries diverses, La brochette détonne vite, et de manière positive.

Le cadre est fort sympa, avec des meubles de récupération, l’espace est conçu intelligemment, avec une terrasse rigolote, avec des plantes, on se croirait sur un quai, ailleurs. Le personnel est efficace, le menu est effectivement original, et si vous vous perdez, le maitre des lieux ou la maitresse des lieux vous conseille aussi aimablement qu’ils vous ont accueilli à l’entrée.

Au menu, vous aurez le poisson du jour, de la ojja aux fruits de mer dont on m’a dit beaucoup de bien, et des sandwichs dans un excellent pain, qui ressemble à de la ciabatta d’ailleurs, avec des sauces diverses, des sandwichs donc disais-je aux œufs de seiche, au poulpe, à la crevette panée, bref que du bonheur, du frais, du délicieux. Bien sûr, vous trouverez de la viande aussi, qui a l’air bonne aussi, mais il me semble que la spécialité du lieu est surtout autour de la mer et ses ressources.

Vous compterez de 5 à 8 DT le sandwich, ne hurlez pas, c’est un plat dans du bon pain, si si.

Vous me direz si le visage du cuisinier en chef vous dit quelque chose, d’ailleurs.

Vous avez faim, là ? Moi aussi, comme c’est malin d’écrire et de s’affamer en même temps !

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